« Il faut savoir dire merci! » Alan ft Sasha.

Je me demandais comment Rosemary avait réussi à me tirer jusqu’ici, le central parc de Tree Hill. Lieu étrange, voir inutile. Ma meilleure amie voulait absolument que je prenne l’air ! L’air de Tree Hill je la connais par cœur alors pourquoi ne pourrais-je pas respirer l’air de ma chambre. J’étais bien sous la couette, je venais de dormir deux heures et vingt-trois minutes exactement, Rosy m’avait viré du lit parce qu’il était dix heure du matin et que madame voulait prendre l’air avec moi. Je me demande si elle veut ma mort des fois. J’avais fais la fête toute la nuit, pour changer. Je ne me rappelle plus vraiment ce qu’il c’était passé ce soir là d’ailleurs. Je me rappelle d’une fille, une pute à frange, blonde, aux gros nichons qui me chauffé à mort. Moi, évidemment je suis rentré dans son petit jeu, on s’est embrassé quand tout à coup une brute épaisse m’est tombée dessus. Je suppose que c’était son petit ami, il n’était même pas capable de tenir sa copine ! Mais hier soir je n’étais pas capable de me battre, vu mon état. Heureusement le super-héro de l’histoire est arrivé : Alan. Je le connaissais du lycée, bien que je ne lui aie jamais parlé. J’avais pour habitude de l’observer discrètement à l’heure de la pose car avouons-le Alan est terriblement sexy avec son côté ‘je m’enfoutisme’. Je m’en sortais bien parce que mon visage était intact ! En y repensant, je ne l’ai même pas remercié… Ce n’est pas mon genre.

Je marchais au côté de Rosy, avec une allure d’adolescent qui vient de se prendre une méga cuite. Rosemary me parlait, j’avais les oreilles qui bourdonnaient, j’étais incapable de comprendre un mot. Il me fallait un temps d’adaptation, au moins une heure avant que je n’émerge. Elle me parlait de son nouveau book, de sa famille etc… Je n’écoutais pas. Pourtant c’était intéressant, mais là j’avais plus envie de rejoindre mon lit. Heureusement qu’il faisait beau, ce matin j’avais enfilé un jean D&G blanc assez moulant et un tee-shirt noir Pépé Jeans, même la tête dans le cul je me devais d’être présentable. Mes cheveux étaient un peu en bataille, mais ça me donnait un genre anticonformiste. Petit à petit je reprenais mes esprits, surtout quand une jolie créature brune passa devant moi, elle avait une paire de fesse *O*. Je ne pus m’empêcher de m’exprimer : « A la clair branlette, j’ai sortis mon poireau pour encu… » Mais Rosemary me mit un violant coup de coude dans le bras, je ne pus finir ma petite chansonnette. Ma meilleure amie s’emblait un peu en colère, j’avais parfois un comportement de gamin, surtout quand j’étais crevé. « Sasha… Tu m’énerves ! Si c’est comme ça je préfère continuer ma promenade seule. » Dit-elle avec ses yeux fâchés. Je restais planté là, sans rien dire, j’étais incapable de rétorquer. Rosemary s’éloigna peu à peu de ma vue, je me retrouvais là, seul, au milieu d’un parc minable. J’étais dégouté, Rosy n’avait pas le droit de me lever aux aurores pour aller se promener et me planter au bout de vingt minutes ! Je fis quelques pas pour aller m’assoir sur un banc, à l’écart de la population. Je ne voulais pas que l’on me voit ainsi, j’étais tellement outré que je n’avais même plus envie de rejoindre mon lit.

« C’est la meilleur ça… Je me retrouve seul dans un parc pourri ! » Sa y est, je me mettais à parler tout seul. Pour tout vous dire je ne supportais guère la solitude, sa me donne envie de pleurer quand je suis seul. Je regardais les gens au loin, j’aimais beaucoup observer.

Al' ?! Une voix lointaine apparait dans mon rêve. Qui ose me déranger durant le strip tease de Dita Von Tease ?! Je rejette cette voix, continuant de contempler la strip-teaseuse avec joie. Avant c'est quand même étrange, on est en pleine jungle. Mais bon si c'est son kif de me chauffer en pleine Amazonie. Alaaan ? Je grogne disant à mon père d'aller se faire voir, que je veux voir Dita à poil avant. P*TAIN ALAAAN D'un seul coup je sens un truc dur entrer en contact avec moi, et je retrouve mes esprits, allongé sur mes latte de lit, mon matelas au dessus de moi. Je ne suis plus dans la jungle mais dans ma chambre, et Emrys doit être la cause de mon réveille. C'est quoi ce bordel. Emrys en boxer retire mon matelas me permettant d'avoir une meilleure vue. Il me temps la main et je la saisis pour me lever. Une violente douleur dans les côtes, je baisse les yeux pour voir alors le côté droit de mon ventre totalement violet. Nice, c'est la chute qui m'a fait ça ? Les évènements de la nuit dernière me reviennent, et je comprend que c'est pas mon lit, mais un colosse qui m'a fichu son poing dans le ventre avant que je m'explose contre une porte. Oui ba il a juste fait ça, sinon il aurait démolit le visage de je ne sais plus quel mec d'ailleurs... Je reviens à la réalité, Emrys fixe lui aussi mon ventre blasé et ne dit rien pourtant. Pourquoi tu m'as réveillé ? J'étais entrain de faire un sublime rêve ... JE lui réplique de mauvaise humeur. Mon meilleur ami enfile un jean en vitesse avant de me fixer. Moi je me suis réveiller, parce qu'hier soir on était trop pété pour que je trouve mon lit, et que ton lit était plus proche. Sauf que tu m'as réveillé parce que tu bandais ! Je le regard surprit, oups. Tu m'étonnes... tu aurais été dans ma tête crois moi que... Y'a pas le temps Al' ! Je fumais à la fenêtre, et j'ai vu la voiture de ta mère se garer, elle avec ton frère ?... Je me fige. C'est une blague ?! Je me jette sur mon jean pour l'enfiler. J'ai pas de frère tu el sais très bien ! C'est Klovis son nouveau toy-boy... p*tain si elle me voit elle va encore me fiche la honte pendant un siècle .. quand elle est avec lui c'est... Emrys qui connait ma mère aussi bien que moi hoche la tête. Me jetant une basket , je l'enfile, en cherchant l'autre. Enfilant un bonnet, et prenant mon blouson, je cherche mon tee-shirt. On frappe à la porte et je file dans la salle de bain, torse nu entrain d'enfiler mon autre basket. Emrys ... quel bazar dans cette chambre, je comprend pourquoi vous n'admettez personne d'autre depuis le début... La voix enjoué de ma mère se fait entendre, et j'ouvre la fenêtre pour sortir contre le mur. Je me laisse tomber sur le balcon du dessus et m'exploser une fois encore le ventre. Je l'enjambe et saute à terre facilement. Enfilant mon tee-shirt, je commence à courir. C'est pas que j'aime pas ma mère, c'est juste qu'elle m'aime beaucoup trop...

Une journée qui commence sur les chapeaux de roues, je finis en ville pour être sur de pas croiser ma tarée de mère. Croisant des amis, on se prend un café avant de décidé de se faire un "rugby" au central Park. De toute manière je peux pas rentrer à la chambre avant plusieurs heures. Autant s'occuper comme on peu à vrai dire... Allant récupérer un ballon chez Alex' on arrive au central park, avec un pâque de bière, malgré l'heure matinale. De toute manière on est réputé pour être le pire cas sociaux de l'université, rien ne sert d'y changer quoi que ce soit. Je veux rien y changer en plus. Ma guitare sur le dos - que j'ai retrouvé chez Alex' -. On se pose dans un endroit du parc, laissant nos affaires tranquille on commence à se faire des passes, entre les promeneurs. Hé regarder les gars... monsieur parfait, bien sous tout rapport est tout seul sur un banc ! La voix d'alex criant cela on se retourne pour voir de qui il parle. Oh non pas Kerbinghton. Voyant des cheveux noir, et un look différent du british exécrable je sourie rassuré. Ce mec je lui ai jamais parlé, on le compare à Kerbighton en pire, et j'ai déjà croisé son regard. Pas envie de subir encore les vannes ennuyeuse d'un british énervant. Même si il est sexy. Je renvoie la ball à Tim, me détournant de ce mec... Même si il a du parfaitement entendre les cris d'Alex... La balle me revient brutalement et n'ayant pas un réflexe sur-humain elle me file entre les doigts. Allant se paumer plus loin. Bravo.
Je file avec les gars la chercher, arrivant près du banc du jeune homme Lexinghton il me semble, je la récupère, près à crier aux mecs que je l'ai trouvé. Néanmoins je me retiens retournant plutôt vers eux, me ravisant en arrivant à la hauteur de son banc. Je savais pas que la royauté qui se pense parfaite venait trainé dans les bas fond de notre ville... Mais non c'est même pas méchant, je suis méchant qu'avec Kerbinghton que je ne peux supporter. Bien que si comme la rumeur le dit il est encore pire, je sens qu'il risque d'ouvrir rapidement les hostilité. Tant pis...

Je n’en croyais pas mes yeux, j’avais oublié mon portable chez moi, c’est encore la faute de Rosemary ! Je devais faire un procès contre elle, bon d’accord je vais un peu loin mais comment je vais faire pour me donner une contenance sans mon portable ? J’étais juste là, au central parc, à regarder les gens du bas-monde se promener avec leurs gros chiens qui font des merdes plus grosses que ma main. A ce moment là, je me sentais seul, très seul. Je regrettais même le fais d’avoir maté les fesses de cette belle brune, Rose ne serait pas partit si je n’avais pas chanté cette chansonnette minable. C’était mon genre de mater, de commenter et de faire une synthèse à la fin. Rosy était un peu jalouse, du coup elle n’aimait pas que je m’exprime de vive voix.

Une groupe de jeunes arriva au central parc et par malchance je les connaissais, non pas personnellement. Heureusement d’ailleurs, c’était des déchets du lycée, tous aussi moches les uns que les autres. Quelqu’un rattrapé néanmoins le coup… Alan évidemment. Mais qu’est-ce qu’il faisait ici ? Si j’avais reçu un coup comme il avait reçu hier soir, je serai surement à l’hôpital. Je me demandais encore pourquoi il m’avait défendu, surement qu’il avait vu que j’avais des muscles mais que j’étais incapable de m’en servir. Pour moi mes biceps et mes abdos en béton servaient simplement à poser pour des photos et à mettre des filles dans mon lit. Comment pouvaient-ils jouer au rugby ? Un jeu débile où on cour après un ballon qui n’est même pas rond, en plus c’est un jeu super violent. Mais après tout ça allait être marrant, les voir galérer après un ballon et les voir se faire mal m’excitais davantage. « Hé regarder les gars... monsieur parfait, bien sous tout rapport est tout seul sur un banc ! » S’exclama Alex’. Je fis comme ci je n’avais rien entendu, je n’avais rien demandé pour une fois et ils venaient me prendre la tête de si bon matin. Après on va dire que je suis méchant, bon d’accord il Alex n’avait rien dit je me serais permis de me moquer d’eau jouant à la baballe. Je ne disais rien mais n’en pensais pas moins, j’aurais pu être méchant, même impitoyable. J’avais juste peur qu’ils m’attachent violemment au banc avec les lacets de mes converses blanches. Mon regard suivait le ballon ovale, qui vînt se perdre derrière moi, j’ai même crûs qu’il allait m’arrivé en pleine figure. Ils se mirent tous à courir après, ce qui me fit rire, c’était assez drôle. « Je savais pas que la royauté qui se pense parfaite venait trainer dans les bas fond de notre ville... » S’exclama Alan. Je tournai mon regard vers lui, sa phrase me fit sourire. Il n’avait pas tord, qu’est ce que je foutais là. Merci Rosy ! Sa y je comprenais tout, elle se vengeait du bordel que j’ai foutu chez elle l’autre soir. Ce n’était pas sympa de sa part, quoique moi j’ai fais pire en saccageant son intérieur. Pour qui il se prenait ? Je le regardais longuement de haut en bas, ma façon de lui dire que je ne lui avais rien demander. « Votre ville est aussi la mienne. » Dis-je d’une voix neutre, je ne voulais pas être méchant avec Alan, il m’avait quand même défendu la veille au soir. Néanmoins il peut rêver pour que je lui lèche ses chaussures pleines de terres !

Étant partit chercher le ballon, je l'avais rapidement trouver dans les buisson, en même temps fallait pas être c** pour comprendre suivant la trajectoire où il était. Pourquoi s'être mis à jouer au rugby ? Enfin plutôt à se faire des passes de rugby, car les gars avait voulut se faire un foot mais qu'avec ma course dans les jardins du campus pour fuir ma mère, j'avais capté que courir avec mon ventre c'était juste impossible. Quant au rugby, n'ayant aucun contact dans nos passes, je pouvais encore lancer le ballon. Et puis faut dire que vu le nombre de fois où j'avais finis entrain de me battre... Plus au collège je dois dire. Ici on était presque plus civilisé je dirais. De toute manière les seuls mecs à ne pas nous aimer, et à nous traiter de looser étaient les petits riches, qui se pensaient parfait, et eux leurs muscles ils en avaient pas ou savaient pas s'en servir. Donc oui à l'université me battre était devenu rare.
Bref ayant trouvé le ballon je sors des buissons, celui-ci dans mes mains. M'avançant finalement en passant près du banc de la copie conforme de Kerbinghton je ne peux m'empêcher de lancer une vanne. C'est pas contre lui en fait, c'est contre son espèce, non en fait plus précisément contre Elyott Kerbinghton. En soit un mec riche ça me dérange pas, si j'écoutais mes pères je pourrais avoir un loft somptueux, une voiture génial et rouler sur l'argent. Mais je leur laisse ça à N-Y, sans vivre non plus sans argent comme ma mère l'a décidé en étant hippie ambulante. Bref, donc ce n'est pas l'argent, ni même leur style vestimentaire, quoi que très ignoble, qui m'énervent. Non c'est leur habitude à juger les gens, à être exécrable et à se croire parfait. C'est ça qui m'énerve, et Elyott encore plus. Malgré qu'il soit plutôt bon dans le domaine sexuel, ce que j'avouerais jamais.

Votre ville est aussi la mienne. Il me regarde de haut en bas avec morosité, moi je m'en fou. Je passe peut-être pas pour un fashion victime en exhibant les marque pourtant jean Galliano ( déchiré d'une chute de skate), veste en jean Zadig et Voltaire homme, non faut dire qu'avec un père PDG et un autre père avocat, j'ai les moyens de foutre en l'air des fringues de qualité, et de m'habiller comme un sac avec. Je passe outre son regard et passe une main dans mes cheveux. Et ba dans le genre réplique cinglante j'ai connu mieux. Ça me déçois, je pensais que tous les riches , chiants et sans intérêt étaient cinglant comme Kerbinghton... c'ets blasant. Sourire amusé et presque sincère. Quoi dans le fond c'est presque un compliment, bon derrière bon nombre de critique certes, mais quoi. Je peux guère faire mieux, mais j'avoue qu'être moins cinglant que Kerbinghton ça ne peut être qu'un compliment. Ce mec est imbuvable mais dans le genre même pour ses semblable j'en suis sur...

« Et ba dans le genre réplique cinglante j'ai connu mieux. Ça me déçois, je pensais que tous les riches, chiants et sans intérêt étaient cinglant comme Kerbinghton... c'est blasant. » Dit-il son ballon à la main. Alors comme ça c’est comme cela qu’il voyait les riches ?! Chiant et sans intérêt. Sa me rassure parce que je voyais leur espèce exactement pareil. C’était assez marrant. Kerbinghton ? Ce nom me disait vaguement quelque chose… Oui bien sûr, Elyott. J’avais entendu quelque rumeurs disant qu’ont se ressemblait. Est-ce possible de me ressembler ? Non je ne pense pas. « Ah tout ça parce qu’on est riche… Tu nous mets tous dans le même sac ?! » Dis-je avec une voix septique. Je ne savais pas que tout les jeunes riches étaient imbu de leur personne et désagréable. Rosemary n’était pas comme ça pourtant et elle arrivait à me supporter. Je regardais un instant sa bande de pote qui attendait sagement le ballon, c’était bien mignon d’ailleurs. A leur place j’aurais déjà gueulé. « Ah je sais ! Tu attends un remerciement de ma part. C’est pour sa que tu tiens tant à me déranger dans ma solitude. » Après tout je ne savais pas pourquoi il venait me parler, à moins que ce sois une personne sadique et chiante qui tiens tant à m’en faire baver, tout ça parce que je suis riche et que j’aime le montrer.

En même temps c’est vrai qu’Alan aurait le droit à ses remerciements, j’aurais pu vraiment avoir mal hier soir. Mais je ne pouvais me résoudre à sa, je ne sais pas dire merci, peut être à part à Rosy et Tiffany. Et puis si ça se trouve ce n’est pas lui qui m’a sauvé hier soir, après tout j’étais complètement bourré, de plus Alan n’avait pas l’air blessé. Bon quand même, je me rappelle très bien de lui, on oubli pas son super-héros comme sa. Je regardais devant moi sans trop grande conviction, Alan allait surement croire que je ne savais pas me battre si je le remercie et il aurait raison. J’avais tellement peur d’abimer mon joli minois.

Je l'observe avec pas vraiment d'intérêt, quoi je peux certes faire la conversation mais pas non plus m'intéresser entièrement à lui en fait. Je sais même pas d'où me vient cette pulsion d'être venu lui parler. C'est lui qui est bizarre et me fixe à chaque fois de l'autre côté de la cafétéria. Ah tout ça parce qu’on est riche… Tu nous mets tous dans le même sac ?! Je le regarde un sourcil relevé. Il se fiche de moi là ? Ils sont les premier à nous foutre dans des sacs parce qu'on passe notre temps à fumer, glander et boire. Parce qu'on s'éclate ils nous mettent comme des loosers, alors qu'à l'université on est sans doute les plus adulé pour nos soirées. Parce que vous ne le faite pas vous ?... Non je ne met pas les riches dans les mêmes sac je met les gars qui se prennent pour des rois dans le mêmes sacs. Nuance. Je réplique avec sourire, comme si c'était la plus grande découverte du monde. J'ai tendance à prendre les gens pour des c** ? Non j'ai tendance à n'avoir aucun sérieux en toutes circonstances. Il tourne le regard vers les gars, et je suis son regard pour voir que si certains semblent encore chercher d'autres nous fixe choqué de me voir tenir la discussion avec lui, mais aussi attendant le ballon.

Ah je sais ! Tu attends un remerciement de ma part. C’est pour ça que tu tiens tant à me déranger dans ma solitude. Sa solitude ? En même temps il a pas beaucoup d'amis... Sauf Tiffany, enfin j'en parle pas. Comment ma meilleure amie peut-elle lui adresser la parole ? Je les ai vu plusieurs fois ensemble et je veux même pas chercher à comprendre, je risquerais de gerber. Remerciement de quoi ? Je fronce un sourcil, jouant avec le ballon, je finis par viser et lancer le ballon aux garçons plus. Plus jamais je me battrais, c'est promis. Où du moins pas avant que mon ventre soit entièrement guérit. Je serre les dents, et regardee ce mec. Remerciement pour quoi ? D'être dans les parages ? De permettre que tu me fixes à chaque fois à la cafet' ? Je réfléchis à haute voix en le faisant exprès. Sérieux pourquoi il devrait me remercier. Je le dévisage un moment surprit en effet qu'il m'ait dit cela.

C’est vrai que je pouvais m’empêcher de mater Alan, je n’arrivais pas vraiment à mettre un doigt sur ce qui me plaisait chez lui, c’était un tout. Peut être qu’en apprenant à le connaître sa rendrait la chose encore plus excitante. Je regardais les garçons attendre la baballe sans grande attention, je voyais bien au loin qu’ils trouvaient sa bizarre qu’Alan m’adresse la parole, c’était marrant à voir. Je les imagine endroit de parler sur moi, c’est particulièrement jouissif. Puis je reportai mon attention sur Alan qui me faisait à moitié la morale sur mon comportement. « Parce que vous ne le faite pas vous ?... Non je ne mets pas les riches dans le même sac je mets les gars qui se prennent pour des rois dans le même sac. Nuance. » Me lança t’il avant de lancer le ballon aux garçons. Il n’avait pas tord, j’étais bien du genre à critiquer les gens sans arrêt, c’était ma plus grande passion. Ce n’était jamais très méchant, une sorte de commérage sur leur façon de s’habiller, leur démarche, leur classe social etc… « Bon… On est quitte maintenant ! Et puis il faut bien des royalistes dans la vie. » Dis-je avec mon sourire white, digne d’une pub Colgate dentaire. Un sourire que j’ai eu le temps de travailler avec Tiffany, on avait bien rigolé d’ailleurs ce soir là, on était complètement raide, Red Bull baigné dans de la Vodka ça ne me réussi pas. « Remerciement pour quoi ? D'être dans les parages ? De permettre que tu me fixes à chaque fois à la cafet' ? » Sortit Alan de sa bouche, laisse septique. Bon… Je me rendis compte qu’il ne s’en rappelait pas. Il m’avait secouru avec simple envi de se battre, les gens étaient parfois étranges. Je le regardais avec un sourire amusé, j’allais jouer de la situation. « En tout cas tu as l’air mal au point… Mauvaise soirée ? » Dis-je avec un air innocent, j’étais très doué pour jouer la comédie et faire comme ci rien ne s’était passé. J’étais joueur, très joueur et j’avais envie d’en savoir plus.

Bon… On est quitte maintenant ! Et puis il faut bien des royalistes dans la vie. Des royalistes ? Pardon mon deuxième papa se dit l'être et je ne l'exècre point du tout, enfin en même temps c'est mon papa mais quand même. Bref je l'observe un moment, avant de sourire néanmoins. Et bien il a réponse à tout et il semblerait que pour le moment il soit moins " mal ba*sé" que Kerbinghton. Alors sa réplique passe et je n'y répond rien, lui laissant le dernier mot sur ce sujet. Bien qu'au fin j'en pense pas moins, pour autant je n'en dis rien. comme quoi les miracles existent, je sais retenir ma langue.
Je le regarde et c'est quand il aborde le fait des remerciement que je fronce les sourcils le regardant sans comprendre, il sourit et semble se raviser et changer de sujet. Je le fixe suspicieux. En tout cas tu as l’air mal au point… Mauvaise soirée ? Mal en point ? Moi ? Juste pour un petit bleu ? Bon d'accord depuis le début de la journée je dis que c'est un petit bleu, mais vu la gueule de Emrys ce matin, et vu l'image que j'ai vu rapidement en m'habillant c'est un peu plus mais bon. J'ai l'air si mal en point ? Où alors c'est le fait d'avoir lancé la balle devant lui ? Oh non soirée somptueuse... de ce que je me rappèle... Un château qui pulsait de musique, un méchant dragon... enfin je suppose qu'il était méchant, une demoiselle en détresse... enfin je suppose aussi, même si ce matin elle était pas dans mon lit pour me dire merci... Vive les métaphore de merde signé Alan. Oui toujours sous le rire, jamais sérieux, toujours à se foutre du monde ou à jouer le comique. Je n'y peux rien, et puis quoi c'est vachement bien imager. Quoi qu'il est vrai que de la fille je m'en souviens plus, je me souviens d'avoir vu un mec bien baraque crier sur quelqu'un, lever le poing et je me suis interposé pour je ne sais plus quel raison. Oui en effet je suis c**... Pourquoi ça t'intéresse ? Tu n'as pas assez d'amis pour parler de leur sublime soirée ? Je lui demande moitié moqueur, moitié taquin, et non par provocation, enfin si un peu. Mais je me surprend à ce que ce soit quasi amical, j'ai bien dis quasiment !!!

Sujet: Re: « Il faut savoir dire merci! » Alan ft Sasha.